Un poème de Théodore de BANVILLE (1823-1891)
L'Été
Il brille, le sauvage Été,
La poitrine pleine de roses.
Il brûle tout, hommes et choses,
Dans sa placide cruauté.
Il met le désir effronté
Sur les jeunes lèvres décloses ;
Il brille, le sauvage Été,
La poitrine pleine de roses.
Roi superbe, il plane irrité
Dans des splendeurs d'apothéoses
Sur les horizons grandioses ;
Fauve dans la blanche clarté,
Il brille, le sauvage Été.
... et quelques sépartateurs pour enjoliver le tout !
Un peu de gaitée dans ce monde si .....cruel pour DSK (lol)
Mon week-end a été chargé.
Yness, ma petite fille est venue dormir à la maison. Sa mère, son frère et ma mère l'ont accompagné et nous avons improvisé un lunch "moules-frites".
Mon voisin était venu m'apporter un seau de moule ramassées le matin même et j'ai donc improviser une super soirée..... Jimmy, mon petit-fils a dit que c'était les meilleures moules qu'il n'ait jamais mangé (lol) ; quelle fierté pour moi quand on connait mes talents culinaires....
Il part en Allemagne ce soir, en voyage scolaire durant une semaine ; il nous manque déjà....
Puis, nos invités partis, Yness et moi avons un peu trainé devant la télé, à regarder des films "style vampire" et rapidement rejoind le lit, car nous sommes invitées le lendemain à midi, chez mon amie Babeth.