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Mon seul regret dans la vie, c'est de ne pas être quelqu'un d'autre.
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27 mai 2012 7 27 /05 /mai /2012 10:22

Cette chanson est dans mes souvenirs, du temps ou la vie m'était belle....

Elle me touche, et vous?

Joe le taxi est une chanson française écrite par Étienne Roda-Gil, composée par Franck Langolff et interprétée par Vanessa Paradis qui connaîtra un succès dans le monde entier.

Sortie le 27 avril 1987, elle parle d'un taxi se promenant dans Paris (la Seine, ses ponts qui brillent) sur les airs de mambo de Xavier Cugat et d'Yma Sumac.

 

 

Joe le taxi,
Y va pas partout,
Y marche pas au soda.
Son saxo jaune
Connaît toutes les rues par cœur,
Tous les p’tits bars,
Tous les coins noirs
Et la Seine,
Et ses ponts qui brillent.
Dans sa caisse,
La musique à Joe,
C’est la rumba,
Le vieux rock au mambo.
Joe, le taxi,
C’est sa vie,
Le rhum au mambo,
Embouteillage.
Il est comme ça,
Joe - Joe - Joe.
Dans sa caisse,
La musique à Joe résonne.
C’est la rumba,
Le vieux rock au mambo bidon.
Vas-y Joe,
Vas-y Joe,
Vas-y fonce,
Dans la nuit, vers l’amazone,
Joe le taxi,
Et Xavier Cugat,
Joe le taxi,
Et Yma Sumac,
Joe - Joe - Joe,
Joe, le taxi,
C’est sa vie,
Le rhum au mambo,
Embouteillage,
Joe le taxi,
Et les Mariachis,
Joe le taxi,
Et le cha-cha-chi,
Joe le taxi,
Et le cha-cha-chi,
Vas-y Joe,
Vas-y fonce,
Dans la nuit, vers l’amazone.

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21 mai 2012 1 21 /05 /mai /2012 01:00

La communbauté de la gentillesse de mary, propose le thème du mois de Mai...

 

Voici le mois de mai
Où les fleurs volent au vent
Voici le mois de mai
Où les fleurs volent au vent
Où les fleurs volent au vent
Si jolies mignonnes
Où les fleurs volent au vent
Si mignonnement.

Le fils du roi s´en va
S´en va les ramassant
Le fils du roi s´en va
S´en va les ramassant
S´en va les ramassant
Si jolies mignonnes
S´en va les ramassant
Si mignonnement.

Il en ramasse tant
Qu´il en remplit ses gants
Il en ramasse tant
Qu´il en remplit ses gants
Qu´il en remplit ses gants
Si jolies mignonnes
Qu´il en remplit ses gants
Si mignonnement.

Il les porte à sa mie
Pour lui faire un présent
Il les porte à sa mie
Pour lui faire un présent
Pour lui faire un présent
Si jolies mignonnes
Pour lui faire un présent
Si mignonnement.

Tenez tenez, dit-il
Tenez voici des gants
Tenez tenez, dit-il
Tenez voici des gants
Tenez voici des gants
Si jolies mignonnes
Tenez voici des gants
Si mignonnement.

Vous ne les mettrez guère
Que quatre fois par an
Vous ne les mettrez guère
Que quatre fois par an
Que quatre fois par an
Si jolies mignonnes
Que quatre fois par an
Si mignonnement.

A Pâques à la Toussaint
Noël et la Saint-Jean
A Pâques à la Toussaint
Noël et la Saint-Jean
Noël et la Saint-Jean
Si jolies mignonnes
Noël et la Saint-Jean
Si mignonnement.


Chanson de Nana Mouskouri

 

               

Générateur de lettres de gifs et compagnie

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24 avril 2012 2 24 /04 /avril /2012 01:00

Je viens de passer un moment, devant ma télévision et l’émission proposée avait pour thème Mike Brant… Les animateurs sont au niveau zéro, mais ils me permettent de le revoir et de ré-entendre cette voix qui est gravée au fond de mon coeur.

Moshé Michaël Brand, était un chanteur crooner polono-israélien, d'expression française, né le 1er février 1947 à Famagouste (Chypre) et décédé le 25 avril 1975 à Paris.

Il est le fils de Bronia Rosenberg, originaire de Lodz en Pologne, rescapée d'Auschwitz, et de Fichel Brand, résistant polonais originaire de Bilgoraj, de 20 ans son aîné. Ses parents se marient à la sortie de la guerre puis essaient d'immigrer en Palestine mandataire, mais seront refoulés par les Britanniques dans un camp d'accueil à Famagouste à Chypre. C'est dans ce camp que naît Mike Brant.

 

http://viens.over-blog.fr/article-mike-brant-74337095.html

La famille Brand parvient finalement à débarquer en Israël à Haïfa fin septembre 1947 et y vit de l'agriculture dans un kibboutz en Galilée. Mike Brant ne parle qu'à l'âge de 5 ans et affirme très tôt à son entourage « Plus tard, je serai vedette... ou clochard ! ». Il rentre à l'âge de 11 ans dans la chorale de son école.

À 15 ans et demi, il est choisi pour animer le réveillon de la Saint-Sylvestre dans un grand hôtel d'Haïfa, et à 17 ans il devient un artiste reconnu dans les grands hôtels israéliens, à la tête de son groupe « Les Chocolate's ».

Il interprète pour la clientèle internationale des hits américains de ses chanteurs préférés : Tom Jones, Elvis Presley, Frank Sinatra, Aretha Franklin, les Platters.

Son père décède en 1967. Désormais, il commencera chacune de ses prestations par interpréter, en son honneur, la chanson préférée de son père. Peu après, à l'âge de 20 ans, il entre comme chanteur dans la célèbre troupe du grand music-hall d'Israël, Lakat Karmon et pendant deux ans, il fait connaître en Afrique, en Australie et aux États-Unis des airs du folklore israélien. Puis, il est embauché dans un night-club (Le Baccara) à Téhéran en Iran, et est remarqué par Sylvie Vartan et Carlos, qui l'invitent en France, bien qu'il ne parle pas le français et à peine l'anglais.

C’est en 1969 qu’il arrive à Paris, et se produit grâce à Carlos au club Bistingo, qui lui fait également rencontrer Jean Renard, qui lui écrit aussitôt Laisse moi t’aimer.

Il passera deux mois à travailler la chanson dans les studios, en réécrivant phonétiquement les paroles en hébreu. Grâce à son travail acharné, la chanson devient rapidement un énorme succès et il est invité dans les émissions de télévision qui le font connaître. Il vendra plus d’un million de disques de son premier hit.

Le 28 octobre 1970, il interprète Mais dans la lumière et remporte le Grand Prix RTL international, référence de l’époque.

Le 14 février 1971, il est victime d’un accident de la route à Bourg-en-Bresse. Son producteur Jean Renard en profite pour en faire un coup de pub., en ajoutant bandages et tuyaux sur un Mike hilare. Les photos sont vendues à la presse pour être publiées dès le lendemain. La légende que Mike a subi un traumatisme crânien perdurera longtemps comme une des explications pour ses « suicides ».

En novembre 1971, Dalida lui propose de participer à son prochain spectacle à l’Olympia de Paris, qui dure 63 jours. À cette époque, il part en tournée avec Esther Galil, avec qui il noue une grande amitié.

En 1972, il chante Qui saura, reprise de Che sarà (chanson écrite en 1971 par Jimmy Fontana (compositeur italien) pour le festival de San Remo en Italie) , qui devient rapidement numéro 1 des hits et dépasse Claude François en popularité.

Puis, c'est au tour de C'est ma prière et, en 1973, viennent trois autres succès : Rien qu’une larme, Tout donné, tout repris et Viens ce soir.

Il enchaîne tournée sur tournée et soixante-dix galas pendant l’été.

En 1974, d’autres succès voient le jour : C’est comme ça que je t’aime, Serre les poings et bats-toi, On se retrouve par hasard et Qui pourra te dire. Il est classé dans les « chanteurs à minettes »1 (comme Patrick Juvet, Christian Delagrange, Dave, Frédéric François).

Épuisé par sa vie trépidante et très affecté psychologiquement par le cambriolage de son appartement, il est envoyé dans une clinique psychiatrique pour se reposer. Diagnostiqué comme dépressif, il fait une première tentative de suicide le 22 novembre 1974, en se jetant du cinquième étage de l'hôtel de la Paix, à Genève. Les journaux de l'époque, en manque de sensationnel, titrent « il est bloqué aux rambardes du 3e étage : il en est quitte pour un nouveau traumatisme crânien et deux fractures des jambes ». A cette époque, il commence à se droguer et à prendre de la cocaïne. Il fera trois overdoses.

On sait aujourd'hui, grâce aux confidences que Mike Brant a faites à Dalida et au témoignage du concierge de l'hôtel de la Paix, Hermann Mitterer, que Mike, excédé et dépressif à cause de son nouveau producteur qui ne lui offrait ni les royalties, ni la carrière internationale pour lesquels il avait signé un contrat le 1er juin 1974, aurait menacé Simon Wajntrob de se jeter par la fenêtre plutôt que de continuer avec lui.

Le vendredi 25 avril 1975, à 11 h 3 du matin, Mike Brant tombe du sixième étage d'un immeuble situé au numéro 6 de la rue Erlanger, à Paris. La chute lui est fatale : Mike Brant avait 28 ans. Plusieurs thèses ont été mises en avant pour expliquer sa mort prématurée. Certains ont parlé d'assassinat, de sa difficulté grandissante à assumer les conséquences de son succès (vie désorganisée, harcèlement des fans), tandis que d'autres ont défendu la version du traumatisme psychologique qui touche les enfants de déportés.

Parmi les autres versions qui firent également les gros titres des magazines à sensation : une implication dans un trafic d'œuvres d'art, une obscure histoire d'espionnage avec le Mossad (les services secrets israéliens) en toile de fond, ou bien encore une dispute avec Simon Wajntrob (son dernier producteur qui sera retrouvé mort, quelques années plus tard, dans le bois de Boulogne) qui aurait tourné à la tragédie, mais une autre version serait une chute provoquée par une mauvaise réaction au LSD, violente drogue hallucinogène que Mike Brant aurait consommée. Il faut néanmoins employer le conditionnel tant les raisons expliquant sa disparition demeurent matière à controverse. Aucune autopsie du corps ne sera faite. Comme pour toute vedette morte de façon tragique, une sorte de légende entoure sa mort.

 

http://viens.over-blog.fr/article-mike-brant-74337095.html

Mike Brant a été enterré dans le cimetière Camp David de Haïfa en Israël le 7 mai 1975. La stèle est revêtue de la seule inscription « Moshé Michael Brand », réunissant ainsi son nom de famille et son prénom de naissance dans sa dernière demeure.

    1970 : Laisse moi t'aimer

    1970 : Mais dans la lumière

    1970 : Parce que je t'aime plus que moi

    1971 : À corps perdu

    1972 : Qui saura ?

    1972 : C'est ma prière

    1972 : Sans amis

    1973 : Rien qu'une larme

    1973 : Toi, mon enfant

    1973 : Tout donné, tout repris

    1973 : Viens ce soir

    1974 : Serre les poings et bats-toi

    1974 : Qui pourra te dire ?

    1974 : C'est comme ça que je t'aime

    1974 : Toutes les couleurs

    1975 : Dis-lui (musique de Loulou Gasté)

Filmographie

    2002 : Laisse-moi t'aimer d'Erez Laufer

Bibliographie:

Livres consacrés à Mike Brant

Alain-Guy Aknin, Mike Brant : Le chant du désespoir, Monaco (Alphée), 2010.

Yona Brant, Mike Brant [avec CD], juin 1997.

Michel Jourdan, Mike Brant. Il n’a pas eu le temps…, Paris (TF1 Musique), 1995.

Olivier Lebleu, Mike Brant. La voix du sacrifice. Biographie, Paris (Publibook), 2002.

Fabien Lecœuvre, Mike Brant. L’idole foudroyée, Paris (La Lagune), 2005.

Fabien Lecœuvre et Gilles Lhote, Mike Brant inédit, Neuilly-sur-Seine (Michel Lafon), 2000.

Armelle Leroy, Mike Brant. Biographie, s.l. (Flammarion), 2005.

Mike Brant, nov. 2000.

Mike Brant. Le prix de la gloire, Alef [= livre en hébreu].

Jacques Pessis, Mike Brant, Paris (Vade Retro), 2001 (Les lumières du music-hall).

Fabienne Roche , Mike Brant. Le prix de la gloire.


Mike Brant Nous irons A Sligo par figinho
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16 septembre 2010 4 16 /09 /septembre /2010 00:00

 

Bon, allez, il faut que je me remette de mes émotions…

http://images.imagehotel.net/hm50zhtlmm.jpg

Ça aurait pu être un beau roman… une belle histoire…

 

Il faut que je remonte les marches pour atteindre l’estrade de la vie, et y retrouver « mon ange », vous vous souvenez ?

En tout cas, lui je ne le vois pas, mais je sais qu’il s’occupe de moi lui au moins ... (pour comprendre, clic ici )

 

Avez-vous  vu, toutes les musiques que j’aime, en haut du blog, à l’emplacement de la bannière ?

En ce moment, c’est ma nouvelle lubie.

Il y avait si longtemps que je n’écoutais plus de musique… et maintenant, dés que je me lève, j’allume l’ordi, je viens sur le blog, et j’allume ma play-list.

 

Mike Brant, Jojo (heu le vrai lol), Francis Lalanne, Yannick Noah, C. Jérome, Gérard Lenorman, Démis Roussos, Michel Sardou… un petit mix des chansons qui font vibrer mon cœur.

 

Je n’arrive pas à installer la musique, de manière à ce qu’elle continue, même quand vous tournez les pages… Quelqu’un peut-il me donner un tuyau ? J’ai cru comprendre qu’il faut se servir du « pop-up »…

Mais qu’est-ce donc ?

Je ne mets pas le lecteur en automatique, car je sais que cela en gène certain(e)s ;  alors si vous voulez entendre, cliquez sur la petite flèche.

 

Notre copine PATMAMY passe un moment difficile... Allez l'encourager !

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25 juillet 2010 7 25 /07 /juillet /2010 00:00

http://nsm03.casimages.com/img/2010/07/24//100724044438997426455997.gif

J'ai découvert cette chanteuse, au cours d'une émission, il y a plusieurs mois...

Le temps a passé et quel bonheur de la retrouver, maintenant sur toutes les antennes....

 

Elle est mon coup de coeur actuel ; enfin une vraie artiste!

Je partage avec vous ce moment de bonheur....

 


Chanteuse montante de la tendance afro, groove jazz, Zaz est une jeune femme très talentueuse, qui a parcouru tout un chemin dans le monde de la musique. Révélée par son tube « Je veux », Zaz mêle plusieurs influences musicales et en fait un véritable chef-d'oeuvre.


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23 mai 2009 6 23 /05 /mai /2009 00:00

Bonjour  !

Je n’avais pas réalisé combien cette chanson, sied à mon blog….

JE VOUS LA DEDIE A VOUS TOUS, MES AMI(E)S FIDELES ET SI PROCHES, QUAND J'AI BESOIN DE RECONFORT...

Je ne sais pas encore mettre la musique, mais quand j’y parviendrai, j’essaierai de la mettre en fond (très doux, bien sur)…

En attendant, je me suis evertuée à mettre un fond d'article seul, c'est la première fois que je fais ça... C'est pas évidant. Dites-moi, si vous le voyez bien ?

... Hé !  la schtroupmphette, je l'ai retravaillé ; qu'en penses-tu ?

Merci!

 

Toi qui as posé les yeux sur moi
Toi qui me parle pour que j'ai moins froid
Je te donnes tout ce que j'ai à moi
La clé d'un monde qui n'existe pas
Viens, je t'emmène
Où les étoiles retrouvent la lune en secret
Viens, je t'emmène
Où le soleil le soir va se reposer
J'ai tell'ment fermé les yeux
J'ai tell'ment rêvé
Que j'y suis arrivée
Viens, je t'emmène
Où les rivières vont boire et vont se cacher
Viens, je t'emmène
Où les nuages tristes vont s'amuser
J'ai tell'ment fermé les yeux
J'ai tell'ment rêvé
Que j'y suis arrivée
Plus loin, plus loin, plus loin que la baie de Yen Thaï
Plus loin, plus loin, plus loin que la mer de corail
Viens, je t'emmène
Derrière le miroir de l'autre côté
Viens, je t'emmène
Au pays du vent au pays des fées
J'ai tell'ment fermé les yeux
J'ai tell'ment rêvé
Que j'y suis arrivée
Viens, je t'emmène
Viens, je t'emmène
J'ai tell’ment fermé les yeux
J'ai tell’ment rêvé
Que j'y suis arrivé
Plus loin, plus loin, plus loin que la baie de Yen Thaï
Plus loin, plus loin, plus loin que la mer de corail
Viens, je t'emmène
Où l'illusion devient réalité
Viens, je t'emmène
Derrière
le miroir de l'autre côté... (Le miroir de vérité lol)!

Interprété par France Gall

 

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11 décembre 2008 4 11 /12 /décembre /2008 00:00




La société de la croissance
se développe en ayant soin,
pour mieux accroître sa puissance,
de faire croître les besoins.

Ces besoins ne sont nécessaires
qu'aux victimes du superflu :
ceux qui dans le luxe macèrent,
qu'ils en aient les moyens ou plus....

Cachet de la pub faisant loi,
ces besoins jettent dans l'errance
des gens pourtant de bonne foi.
On leur fait croire en l'occurrence,
qu'un progrès constitue en soi,
un besoin que, par conséquence,
on doit joindre à ceux que l'on a...
La subliminale éloquence
à quoi le marché s'engrena,
manipule ainsi les consciences,
par le plaisir et par l'état...
Quand au Peuple qui fait confiance,
il consomme ses quotas.

On fait passer les droits de l'homme a
près les besoins qu'il se crée ;
les droits de celui qui consomme
avant ses droit les plus sacrés...

On aliène les libertés
de l'Homme les plus essentielles ;
ce même jusqu'à les ôter
pour d'autres, plus artificielles,
que chacun se doit d'intégrer ;
de faire sienne et d'honorer
s'il ne veut pas être ignoré
par la masse consommatrice...

Ceci est un extraits des nouveaux textes chantés de Francis Lalanne, et dont j'ai reçu le CD, en cadeau d'anniversaire, de ma cops que vous connaissez tous : MOYRA !!!

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