Comment faire un carnet de voyage par Chayan Khoï
Comment faire un carnet de voyage par Chayan Khoï
vidéo coup de coeur
Né à Paris en 1942.
Traverse une scolarité houleuse dont le dernier périple se termine, à l'âge de 14 ans, par une arrestation en règle sur le port du Havre, avant qu'il ne s'embarque, cette fois là, comme passager clandestin vers les Amériques.
1957 - S'engage dans la marine marchande à bord des pétroliers, et moi, je viens au monde (lol).
1966 - Auteur - compositeur, il crée le groupe " Les Enfants Terribles ", dont il sera le leader, et enregistre avec eux, chez Polydor et Barclay.
1968 - Avec son groupe, il se produit, de nombreuses années, aussi bien en télé, radio, que sur scène, avec différentes personnalités telles que: Guy Béart, Georges Brassens, Léo Ferré, Jacques Brel, Bernard Lavillier, Renaud, Jacques Higelin, Michel Polnareff, Boby Lapointe, entre autres. Il publie ses catalogues de dessins et participe à des émissions radiodiffusées en qualité de documentaliste sur les sujets fantastiques.
1970 - Il quitte " Les Enfants Terribles " et, après avoir obtenu le premier rôle de la dernière Comédie-Musicale de Jacques Brel, se retire à Tourettes-sur-Loup travailler à plein-temps ses plumes et ses pinceaux.
1977 - Moi, le 13 mars, je mets au monde, cette merveilleuse poupée!
Bon, assez parlé de moi, et vous comment allez-vous, bien ???
Bonne semaine!
vidéo
Préparez vos mouchoirs, mettez le son.... et Clic ICI pour démarrer la vidéo!
Admirez... C'est de l'ART !
Un nouveau débat est proposé aux français et j'avoue que je ne sais qu'en penser.
C'est vrai que nous en avons besoin et que notre éducation et notre culture sont basées dessus et avec.
Mais à l'heure actuelle, ou le seul mot d'ordre est "sauve qui peut" (se loger et se nourrir), nous devrions peut-être faire l'impasse ?
J'avoue que j'aime l'art sous toutes ses formes...
J'ai reçu le texte et le lien, ci-dessous :
Impossible absence
L’absence actuelle de vrai débat public sur la place de l’art et de la culture dans notre société est un symptôme historique extrêmement inquiétant.
Elle annonce, pour la première fois depuis la Libération, le risque d’abandon d’une part fondamentale de l’histoire de notre pays.
Une part de notre histoire dont est issue la valeur accordée aux choses de l’esprit, à travers notre littérature, notre théâtre, les arts et leur circulation, dans la vision du monde que nous partageons et la place que nous avons su leur donner dans notre vie réelle. Cette absence fait planer la menace d’une défaite devant l’invasion délétère de l’esprit marchand imposée par ce que l’on nomme « globalisation ».
Les politiques qui refusent l’ordre néolibéral doivent le comprendre : non seulement la culture - au sens le plus large du mot -, est un enjeu fondamental de civilisation, mais c’est aussi pour eux un atout politique majeur.
Comme le dit le grand dramaturge Edward Bond, « que nous resterait-il aujourd’hui des Grecs s’ils ne nous avaient laissé une philosophie, un théâtre, une mythologie, des temples, des statues ? » Autrement dit un immense arrière-plan artistique et culturel créé à partir d’outils symboliques : une langue, des codes, des signes qui nous relient à une mémoire commune, à une volonté d’être ensemble et de rencontrer l’autre, de se frotter à l’inconnu, qui nous constituent en tant qu’êtres pensant, rêvant, imaginant, désirant, créant, construisant l’improbable avenir.
Ce sont ces outils qui nous permettent de nous penser, de nous ressentir, autrement qu’en tant que consommateurs ou marchands…
Notre histoire récente fut traversée de soubresauts où cette aspiration - ce désir collectif, parfois confus, souvent éclatant et vibrant - s’est manifestée. Des outils ont été construits avec le Conseil National de la Résistance. C’est ce que l’on appelle « le service public de la culture ». Il ne s’agit, en réalité, de rien d’autre que la manifestation concrète, politique, d’une volonté de donner à l’esprit sa vraie valeur dans la collectivité.
Ce service public, qui en France fut incarné par un ministère de la Culture, est en passe d’être démantelé.
Deux événements peu commentés, font figure de symptôme.
Au moment précis où plusieurs études alertent sur la désaffection de la lecture parmi les jeunes Français, la direction du Livre du Ministère a été supprimée l’automne dernier ; celles du théâtre, de la musique, de la danse et des arts plastiques ont depuis subi le même sort.
Dans le cadre d’une révision générale des politiques publiques qui veut tout soumettre, y compris l’inquantifiable, à la « rationalité économique », l’ensemble des directions artistiques sont réduites à une Direction générale de la création artistique, coincée entre une Direction des patrimoines et celle des médias et des industries culturelles.
On peut craindre que l’art ne soit plus la priorité de ce ministère...
La même rationalité économique a présidé aux débats du Forum d’Avignon : « économie et culture », présenté comme un « Davos de la culture ». Le symbole est fort. Au moment où la « crise » prouve l’inanité des dogmes néolibéraux qui dominent l’Europe, la culture devient l’ultime nappe phréatique où puiser, au service d’intérêts qui lui sont totalement étrangers.
Quel crédit porter à une « économie créative » initiée par des dirigeants d’entreprises comme Nicolas Seydoux, Didier Lombard et Axel Ganz ? Que peut véhiculer une telle « culture », réduite et instrumentalisée par les impératifs d’une « économie de la connaissance ? »
Dans l’Europe néolibérale, un faisceau de signes innombrables converge vers la destruction de ce que nous appelons l’humain. Brutalité d’une main, propagande de l’autre, encouragement général à cesser de penser et échanger. Cet encerclement qui concerne tous les aspects de nos vies tend à faire de chacun un individu dénué de sens collectif. On peut s’inquiéter de ce qu’il adviendrait d’une civilisation déjà très altérée par un individualisme stérile, une fois amputée ce qu’il lui reste de capacité à utiliser le symbole comme moyen d’échange et de construction d’une richesse culturelle commune.
À leur échelle, de nombreuses collectivités territoriales, avec des politiques qui prennent en compte différents niveaux de l’action artistique et culturelle et pallient les désengagements de l’État, tentent de résister à ce rouleau-compresseur. Comment pourront-elles agir demain, face à un gouvernement qui risque de les priver de toute marge de manœuvre en leur déniant la compétence culturelle ?
Il est temps de l’affirmer : nous avons ici des valeurs essentielles à défendre et à promouvoir.
Ces valeurs, ne doivent pas, sous peine d’effacement, se soumettre à la tyrannie du chiffre.
Voici un débat public qui mérite vraiment d’être ouvert !
Cliquez ici pour en apprendre plus et ou signer !
vidéo
Cliquez sur l'image, ou le lien et regardez-la jusqu'à la fin, vous ne le regretterez pas.
http://www.youtube.com/watch?v=jEjUAnPc2VA
vidéo
vidéo
Patrick Juvet,
c'est lui qui a composé cette chanson !
Saviez-vous que Patrick Juvet a écrit la musique du Lundi au soleil ?
Allez, on continue dans la bonne humeur, cliquez sur la vidéo, ci-dessous!
vidéo
Bonjour!
L'effet solidarité des blogueurs commence à agir : ce matin BR 74, j'en ai le tournis!!
Maintenant, il faut tenir 7 jours comme ça! Je compte sur vous......
Pour vous rendre la visite agréable, je vous présente aujourd'hui une vidéo qui m'a fait rire aux larmes.
Et bien sur, vous l'aurez deviné, à savoir, qui m'a envoyé cette vidéo ???.... C'est Kasimir! (cliquez sur son nom pour aller rêver un moment au pays des contes en tout genre...)
Voilà, c'est fini ! J'espère que vous avez passé un bon moment...?
Si vous souhaitez voir d'autres vidéos, cliquez ICI!
vidéo
Hier, je vous parlais de Yann Arthus Bertrand, et aujourd'hui, je vous propose de regarder le film HOME.
Un chef-d'oeuvre, une réalité... notre avenir!
Cliquez sur l'image, ci-dessous, pour visionner le film!
Et si vous manquez de temps, ne vous inquiétez pas, il restera en salle un moment (lol).
Pensez aux pop-corn...
Image tranformée en horloge calendrier par : http://pilarcita.over-blog.com/ .... Merci!